Par le délégué à la presse, Hajj Mohamed Bendamia en France
Brevet du scientifique marocain Al-Yazmi pour « la sécurité des batteries de voitures électriques »
La télévision marocaine (officielle) a annoncé que le scientifique Rachid Al-Yazmi, spécialiste des batteries au lithium, avait obtenu un brevet de la Chine, spécifiquement pour la technologie de « sécurité des batteries de voitures électriques ».
La télévision a indiqué mercredi sur son site Internet que le scientifique marocain Al-Yazmi avait obtenu de la Chine un brevet relatif à « la sécurité des batteries des voitures électriques ».
À son tour, Al-Yazmi a déclaré dans un message sur Facebook : « Je suis heureux d’annoncer un nouveau brevet accordé cette fois par la Chine, concernant la sécurité des batteries des voitures électriques. »
Il a ajouté : « Cette avancée technologique rendra les voitures électriques plus sûres et évitera les accidents causant des blessures et des morts. »
En décembre dernier, le scientifique marocain avait annoncé avoir obtenu « un brevet en Chine pour une méthode de recharge rapide des batteries, notamment pour les futures voitures électriques ».
Cela s’est produit après qu’Al-Yazmi a obtenu, en février dernier, un brevet de l’Office japonais des brevets relatif à la recharge plus rapide des batteries au lithium utilisées dans les appareils électroniques ou les voitures électriques.
En septembre 2022, Al-Yazmi a déclaré à la télévision nationale marocaine que « les récentes expériences qu’il a menées avec son équipe ont permis de charger la batterie au lithium en 5 minutes ».
La période de temps est inférieure de 17 pour cent à la durée précédente enregistrée par le même monde, il y a presque un an, où elle atteignait 6 minutes.
Il a souligné que “la nouvelle technologie de recharge convient à toutes les batteries au lithium, des batteries de smartphones aux batteries de voitures électriques Tesla”.
Al-Yazmi est né dans la ville de Fès, dans le nord du Maroc, en 1953, où il a fait ses études primaires et secondaires, avant de commencer sa carrière universitaire à l’Université Mohammed V de la capitale, Rabat.
En 1972, il se rend en France, pour entamer un voyage pratique qui sera une introduction à l’émergence du nom de l’inventeur marocain dans le monde, puis il s’installe à Singapour.